Ecrits édité au XIX siécle , comme pour le signe de la croix par le même écrivain.
Nous pouvons constater que malheureusement comme pour dans ses écrits sur le signe de la croix, Le surnaturel spirituel est abandonné.
De même on ne nous parles pratiquement jamais de L'esprit Saint où dans des thèmes détourné de certaine église Pentecotiste, évangélique, L'église de scienthologie et aussi certain millieux catholique qui arrangent à leur sauce le spirituel de nos Pères.
Ne soyons plus étonné du chambardement pour nous anciens , mais hélas pour nos jeunes d'aujourd'hui
Voici un texte tiré le << Traité du Saint Esprit >>
Mgr Gaume semble s’être inspiré de ces belles pensées en écrivant sonTraité du Saint-Esprit
. Ce livre vient à son heure. A une époque où le surnaturel est méconnu, nié, blasphémé de toutes parts, il était opportun de remonter à la source même du surnaturel chrétien et d’étudier les manifestations de la grâce, dans leur cause divine, la Troisième Personne de l’adorable Trinité. La lumière de l’enseignement catholique a été tellement voilée sur ces points, par je ne sais quelles vapeurs sorties des marécages nauséabonds de la Renaissance, que les vérités rappelées par
Mgr Gaume paraîtront nouvelles à beaucoup d’intelligences. Elles sont vieilles néanmoins comme le catholicisme lui-même ; et, si jamais doctrine a pu se prévaloir d’autorités imposantes, c’est bien celle que le Traité du Saint-Esprit développe, en s’appuyant presque à chaque page sur les Saintes Écritures, les Saints Pères, les docteurs de l’Église et les princes de la science théologique. Les dogmes catholiques, touchant le Saint-Esprit, passent, en quelque sorte, dans l’ouvrage de Mgr Gaume comme entre une double haie d’écrivains de tous les siècles qui les acclament et les saluent.
<< Qu’on n’aille pas croire cependant que le Traité du Saint-Esprit soit une oeuvre de pure érudition, un livre didactique aux étudiants en théologie.
C’est, au contraire, un ouvrage catholique, même dans l’acception littéraire de ce mot ; nous voulons dire qu’il s’adresse à tout le monde. Puisse le Saint-Esprit bénir cette oeuvre entreprise en son honneur et dont la portée peut être considérable ! Oui, nous n’hésitons pas à le dire >>