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Textes Liturgiques du jour : 17 Novembre 2015, Temps Ordinaire   Kto

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 Textes Liturgiques du jour : 17 Novembre 2015, Temps Ordinaire

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AuteurMessage
Nicolas
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Nicolas


Age : 53
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Textes Liturgiques du jour : 17 Novembre 2015, Temps Ordinaire   Empty
MessageSujet: Textes Liturgiques du jour : 17 Novembre 2015, Temps Ordinaire    Textes Liturgiques du jour : 17 Novembre 2015, Temps Ordinaire   Icon_minitimeLun 16 Nov 2015, 10:47

Mardi 17 Novembre 2015

Sainte Élisabeth de Hongrie
Morte en 1231. Veuve à 20 ans après un mariage très heureux avec le duc de Thuringe, elle consacra le reste de sa vie à la prière et à la charité auprès des malades.

33ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Blanc )
Année B







(Première lecture)
Deuxième Livre des Martyrs d’Israël 6 : 18 à 31


« En choisissant de mourir pour nos vénérables et SAINTES LOIS, j’aurai laissé le noble exemple d’une belle mort »

En ces jours-là,
Éléazar était l’un des scribes les plus éminents.
C’était un homme très âgé,
et de très belle allure.
On voulut l’obliger à manger du porc
en lui ouvrant la bouche de force.
Préférant avoir une mort prestigieuse
plutôt qu’une vie abjecte,
il marchait de son plein gré vers l’instrument du supplice,
après avoir recraché cette viande,
comme on doit le faire
quand on a le courage de rejeter
ce qu’il n’est pas permis de manger,
même par amour de la vie.

Ceux qui étaient chargés de ce repas sacrilège
le connaissaient de longue date.
Ils le prirent à part et lui conseillèrent
de faire apporter des viandes dont l’usage était permis,
et qu’il aurait préparées lui-même.
Il n’aurait qu’à faire semblant
de manger les chairs de la victime
pour obéir au roi ;
en agissant ainsi, il échapperait à la mort
et serait traité avec humanité
grâce à la vieille amitié qu’il avait pour eux.
Mais il fit un beau raisonnement,
bien digne de son âge,
du rang que lui donnait sa vieillesse,
du respect que lui valaient ses cheveux blancs,
de sa conduite irréprochable depuis l’enfance,
et surtout digne de la LÉGISLATION SAINTE établie par DIEU.
Il s’exprima en conséquence,
demandant qu’on l’envoyât sans tarder au séjour des morts :
« Une telle comédie est indigne de mon âge.
Car beaucoup de jeunes gens croiraient qu’Éléazar,
à 90 ans,
adopte la manière de vivre des étrangers.
À cause de cette comédie, par ma faute,
ils se laisseraient égarer eux aussi ;
et moi, pour un misérable reste de vie,
j’attirerais sur ma vieillesse la honte et le déshonneur.
Même si j’évite, pour le moment,
le châtiment qui vient des hommes,
je n’échapperai pas, vivant ou mort,
AUX MAINS DU TOUT-PUISSANT.
C’est pourquoi, en quittant aujourd’hui la vie avec courage,
je me montrerai digne de ma vieillesse
et, en choisissant de mourir avec détermination et noblesse
pour nos vénérables et SAINTES LOIS,
j’aurai laissé aux jeunes gens
le noble exemple d’une belle mort. »
Sur ces mots, il alla tout droit au supplice.

Pour ceux qui le conduisaient,
ces propos étaient de la folie ;
c’est pourquoi ils passèrent subitement
de la bienveillance à l’hostilité.
Quant à lui, au moment de mourir sous les coups,
il dit en gémissant :
« Le SEIGNEUR, dans SA SCIENCE SAINTE, le voit bien :
alors que je pouvais échapper à la mort,
j’endure sous le fouet
des douleurs qui font souffrir mon corps ;
mais dans mon âme je les supporte avec joie,
parce que je crains DIEU. »

Telle fut la mort de cet homme.
Il laissa ainsi, non seulement à la jeunesse
mais à l’ensemble de son peuple,
un exemple de noblesse et un mémorial de vertu.


– PAROLE du SEIGNEUR.



Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris








Entouré d’ennemi


Psaume appartenant au recueil de David. Il fait allusion à la fuite de David devant son fils Absalom.

[Psaume 3, entièrement]




Psaume 3 : 2 et 3, 4 et 5, 6 et 7


R/ Le SEIGNEUR est mon soutien !

SEIGNEUR, qu’ils sont nombreux mes adversaires,
nombreux à se lever contre moi,
nombreux à déclarer à mon sujet :
« Pour lui, pas de salut auprès de DIEU ! »
R/


Mais TOI, SEIGNEUR, mon BOUCLIER,
ma GLOIRE, TU tiens haute ma tête.
À pleine voix je crie vers le SEIGNEUR ;
IL me répond de SA MONTAGNE SAINTE.
R/


Et moi, je me couche et je dors ;
je m’éveille : le SEIGNEUR est mon SOUTIEN.
Je ne crains pas ce peuple nombreux
qui me cerne et s’avance contre moi.
R/


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris







Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Luc 18 : 35 à 43

Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia.
Moi, JE SUIS LA LUMIÈRE du monde, dit le SEIGNEUR.
Celui qui Me suit aura la LUMIÈRE de la VIE.
Alléluia.
(Jn 8, 12)




« Que veux-tu que Je fasse pour toi ? – SEIGNEUR, que je retrouve la vue »

Alors que JÉSUS approchait de Jéricho,
un aveugle mendiait, assis au bord de la route.
Entendant la foule passer devant lui,
il s’informa de ce qu’il y avait.
On lui apprit que c’était JÉSUS le Nazaréen qui passait.
Il s’écria :
« JÉSUS, fils de David, prends pitié de moi ! »
Ceux qui marchaient en tête
le rabrouaient pour le faire taire.
Mais lui criait de plus belle :
« Fils de David, prends pitié de moi ! »
JÉSUS s’arrêta et IL ordonna qu’on le Lui amène.
Quand il se fut approché, JÉSUS lui demanda :
« Que veux-tu que Je fasse pour toi ? »
Il répondit :
« SEIGNEUR, que je retrouve la vue. »
Et JÉSUS lui dit :
« Retrouve la vue ! Ta foi t’a sauvé. »
À l’instant même, il retrouva la vue,
et il suivait JÉSUS en rendant GLOIRE À DIEU.
Et tout le peuple, voyant cela,
adressa une LOUANGE à DIEU.


– Acclamons la PAROLE de DIEU.



Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris



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Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique

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Amicalement, fraternellement
Nicolas

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